"BioPipe"
Ce projet nous a été inspiré de quelques maquettes réalisées par un artiste
japonais très reconnu : Tadashi Kawamata. Cet homme qui a l’air d’un
épouvantail est, tout au contraire, un bonhomme écologique pour attirer les
oiseaux ainsi que les amants de l’écologie et du vert. Ce projet donne à
l’école l’opportunité de recevoir plus de petits êtres qui font partie de notre
vie quotidienne.
Ivanna Gaete, Florencia Valenzuela, Beatriz Suarez, Colomba Pino, Jose
Antonio Raab, Tobias Silva, Emmanuelle Gotteland. 1ºL
« Espoir »
Il existe une ancienne légende japonaise qui dit qu’en faisant un millier de grues on obtient le droit de demander d’accomplir un vœu aux dieux. Ainsi, on nous inspirant du folklore japonais et des fameuses « Pénétrables » de Soto, on a décidé de créer une expérience qui cherche à faire tangible l’espoir. Le même espoir d’un enfant qui rêve de sauver une personne chérie malade, ou celle de quelqu’un qui rêve d’un toit sous lequel dormir.
Juan Tiska, Juan Cristobal De la Cuadra, Francisca Juillerat, Sofía Ramirez, Francisco Rossel, Diego Fernandez, Clemente Frohlich, Damian Castro. -1 A2-
“Le
swing éphémère”
Notre intervention s’appelle « le swing
éphémère ». On s’est inspiré de notre enfance pour construire se swing
avec les couleurs du cirque pour qu’il soit plus vit et amusant. On a choisi un
objet qui touche tout le monde, sans discriminer âge, genre ou classe social.
Pour montrer cette innocence infantile on a utilisé des matériaux fragiles.
Clara Miquel, Jorge Chomali,
Daniel Ruz, Michelle Nissin, Michele Antillo, Joaquim Valls, Alejandro Salas,
Natalia Zipper. – 1 A2 -
Cubzmania
Ce projet s’agit de 5 cubes qui ont des
différentes textures chacun. En effet, en intervenant avec l’espace public
l’idée se base sur le fait que l’observateur de l’œuvre ait envie de le
toucher. Une réaction, à l’heure de toucher n’importe quoi, se produit chez
chaque individu : c’est cela ce que nous cherchons, l’interaction de
l’observateur avec les cubes. De plus, la beauté n’est pas ici l’élément
essentiel ou le but du travail, sinon que la rupture du paysage du quotidien
mais aussi comment on réagit face à cela.
Carlota Prieto, Ignacia Gajardo, Consuelo Monje, Jacomo
Basay, Matias Alonso, Fernando Alono & Flavia Mosciatti -1ES2-
"Chaos éducationnel"
Une œuvre fondée sur les éléments de
l'école et surtout du chaos qui vient avec elle. Le chaos
éducationnel se forme à travers le stress des évaluations contre le temps, en
se transformant en couleurs qui vont se propager dans la chaise. Ce chaos met en
désordre les crayons et les trousses, et ainsi multiplie les horloges. La structure a
été inspirée des travaux de Tadashi Kawamata. La fragilité, la répétition et
les matériaux recyclables, caractéristiques de ses œuvres, sont aussi présentes
dans « Chaos éducationnel », mais de manière différente. Nous pouvons
voir la fragilité de cette œuvre représentée dans les crayons et dans la
position de la chaise. Nous pouvons voir aussi représentée la répétition avec
les montres, les trousses, les crayons et
les évaluations.
Valentina Riquelme, Dominique Vieillescazes, Isabel Mellado, Pauline Marecaux, Benjamin
Valdebenito, Vicente Otto et Emilia Chellew. 1ºL
L’arbre en
larmes
Notre œuvre s’appelle l’arbre en larmes,
on a eu cette idée car on cherchait représenter la vie á travers des matériaux
artificiels. Aussi on a voulu utiliser du journal car on voulait lui donner un
style écologique. On cherchait à faire quelque chose de simple qui en même
temps représentait la nature.
Amanda
Reuter, Fernanda Araneda, Eugenia Querry, Catalina Castillo, Nicolas Barros,
Luciano Girardi, Joaquin Cerda, Gabriel Salvador et Martin Nilo – 1ºES1
“Le
monde est une écharpe”
Notre projet est basé sur « Les six degrés de
séparation » qui est une théorie établie par le hongrois Frigyes Karinthy
en 1929 qui évoque la possibilité que toute personne sur le globe peut être
reliée à n’importe quelle autre, au travers d’une chaîne de relations
individuelles comprenant au plus cinq autres maillons. Cette théorie est
reprise en 1967 par Stanley Milgram à travers l’étude du petit monde. Le monde
est représenté par un cercle et chaque connexion avec un fil. Nous avons voulu
le faire avec des matériaux fragiles pour illustré l’équilibre et la sensibilité
des relations humaines.
Mariana Soto, Danae
Sillard, Mariana Malbran, Raimundo Concha, Camila Urban, Bernardo Cifuentes,
Sergio Puebla -1°ES2 -
Cendrier de cristal
On a créé ce projet en pensant à quelque chose de délicat, subtil et éphémère. C´est pour cela qu`on considère l`esthétique de la fleur nostalgique et tranquille. Le « cristal » qui est
l´âme du projet, représente l´élégance et la noblesse de la nature. On peut seulement distinguer cela dans un état calme, et c`est ce que le “Cendrier de cristal”, cherche à nous transmettre.
Dominga Planella, Valentina Weisz, Felipe Bordachar, Javier Carvallo, Constanza Rojas, Catalina del Real, Macarena Videla y Benjamin Rojas, Juan Du Monceau et Rayen Carvajal – 1ºES1-
Latrine
Ce container représente les habitations sociales au Sud du Chili qui ont été
construites après le tremblement de terre du 2010. Les couleurs extérieures à
demi peintes représentent l’espoir d’avoir quelque chose de digne, mais dedans
le papier journal représente la vraie misère qui est vécue par les habitants. Le
siège de toilette, représente le vrai dégout du mode de vie vécu par les
habitants.
Amanda
Muñoz, Daniel Carvallo, Andres Restrepo, Claudia Carmona, Sebastien Veracini,
Jorge Perelló, Sebastian Rodriguez. -1°S1-
Les étoiles encadrées
Notre sculpture,
est un projet qui est né a partir de nos idées de créer un petit morceau de
ciel et du désir de représenter la beauté et la fragilité de la nuit. Les matériaux
utilisés furent des papiers recyclés, comme par exemple des journaux ou
des feuilles d'un cahier. Pour que la sculpture donne non seulement la
sensation d'être un élément de la vie quotidienne mais surtout pour que
chacun se rappelle d'arrêter de temps en temps afin de prendre une pause
et profiter de la vie et du petit paradis évoqué par la nature qui nous
entoure.
Camila Pavesi, Piero Antillo, Rodrigo Salas, María de
los Ángeles Cañas, Andrés Castelli, Juan Andrés Abarca, Tomás Villanueva et Constanza Besamat -1°A1-
Bouton en Fleur
Notre sculpture est un
projet née à partir de trois thèmes: L’équilibre, l’espace public et l’habitat.
Il s’agit d’un bouton en fleur, qui représente l’espace de protection de la plante
qui grandit. Les matériaux utilisés pour ce projet furent; Le bois pour créer
la base en forme de pyramide, et des tissus qui représentent les pétales de la
fleur en pleine croissance. Ceci nous donne une sensation de protection de la
grande base pyramidale, pour l’abri de cette dernière.
Josefina Ossul, Daniela Paguay, Sofia Molinari, Diego
Castillo, Daniel Juppet, Luciano Pavesi, Pedro Beltran y Rodrigo Eterovic -1ºA1-
Nature morte
Notre sculpture reprend les
thèmes de: l’ephemère, l’habitat et l’ espace public. On a choisi les représenter
puisqu’ils nous emmènent a quelque chose de chaleureux. La forme de notre
sculpture montre un habitat, les branches sèches avec les feuilles mortes
montrent aussi que c’est un habitat précaire qui pourrait être utilisé par un animal.
Cependant on aprécie aussi la condition éphémère de la nature car celle-ci est morte...
Nicolas
Villagran, Nicolas Moreno, Francois Abadie, Pedro Pablo Navarrete, Lucas
Sandoval, Andres Plass, Federico Castro y Daniela Guerra -1°S2-
Toile
d'araignée
Ce cube en bois traversé par des fils de
différentes couleurs a pour objectif d'attirer l'attention des passants et les
inviter a regarder l'enchevêtrement qui est formé par les fils. Cette oeuvre
d'art étant un objet inusuel, placé dans un endroit publique perturbe la vue
des gens car ils ne sont pas habitués a voir des objets comme celui-ci qui
vienne interférer dans l'ambiance habituelle.
Jean Mousset, Thomas Strauszer, Chantal Thibaut, Colomba
Mahns, Andrea Inostroza, Fiorenza Castelli. 1ºS1